TpV : En tant que Gouine

TpV : Telle qu'elle se sent, se voit ou se montre...

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Par toutepourvous

En Femme et Femelle à disposition de Madame & Monsieur...

chasteté

Madame et Monsieur ont profité d'un séjour dans ma ville, pour afficher les visées qu'ils avaient sur celle que je suis... Je me suis donc dévoilée, pour ne pas dire mise à nu virtuellement, afin qu'ils puissent s'assurer de ce que je pouvais leur être digne

Ils ont eu la gentillesse de me considérer  comme étant digne de leur intérêt quand bien même je devais leur paraître un peu tendre eût égard à leur expérience et leurs goûts en terme de domination...

Pour autant, je me devais à eux en femme et femelle soumise. Aucune concession ne me serait faite quant au fait d'avoir à assumer mon statut dans l'une peau comme dans l'autre...

Quelques jours plus tard, rendez-vous est pris : ils veulent me mettre à l'épreuve de ce que je leur ai dit désirer, pouvoir, et au bout du compte, devoir assumer... faire vivre la femme et la femelle qui est en moi...

Ils exigent que je me présente à eux, en leur résidence située en pleine ville... en femme bcbg et de prendre avec moi une tenue explicite de mon statut de femelle.

Ils valident que je me présente, évidemment apprêtée jusqu'au bouts des ongles en femme, totalement épilée, maquillée et perruquée rousse, coupe mi-longue. Je porterai des dessous transparents, avec petits voilages décoratifs devant souligner mon côté soubrette tant sur le soutien-gorge que le string. Je recouvrirai cela d'une blouse, dans les tons brun et noir,  volante, coupée large au niveau des aisselles, manches mi-longues et col largement ouvert avec une jupe en cuir noir, courte et évasée, mettant en évidence mes jambes garnies de bas résille. je chausserai des escarpins ouverts à hauts-talons naturellement. Je porterai un manteau en cuir noir, court, un sac à main et tous les accessoires de la femme (bracelets, collier, boucles d'oreilles...).

 

La femelle que je serai devra prévoir une mini-robe coktail moulante et transparente, forcément très courte, noire, des bas autofixants à large bordure sexy et une paire de cuissardes à très hauts talons et semelles compensées...

 

Je dois me présenter sur le coup des 17h30... J'ai pris grand soin à m'apprêter le plus dignement possible.

Par discrétion face à mon voisinage proche, je suis partie de chez moi apprêtée, mais survêtue d'habits masculins... Arrivée sur place en voiture, je réalise qu'il va falloir compléter ma transition dans ma voiture garée le long d'un trottoir, dans une rue très fréquentée à cette heure-ci,  un lycée à proximité et des passants qui défilent toutes les 15 secondes... je me lance... me voilà perruquée, coiffée, apprêtée... il me faut sortir de la voiture et m'assumer... Etant grande et vêtue de façon aussi sexy ... à cette heure-ci, je vais nécessairement faire converger tous les regards... Enfin, il n'est plus temps d'hésiter... Je l'ai voulu, je l'ai eu ! diront certains pas si mauvaise langue que cela...

Je croise quelques personnes et donc quelques regards..., je regarde le plus dignement du monde devant moi et me concentre à marcher de façon féminine sur mes haut-talons... Arrivée à bon port, je monte les escaliers qui mènent à la porte d'entrée, arrivée à hauteur, je me sens comme posée sur un piédestal à la vue de toute la rue... je saisis le code... qui ne fonctionne pas... Je suis donc condamnée à demeurer sur ce seuil, ainsi exposée... à redouter ce que je recherche, à savoir, être confrontée très concrètement à l'image de celle que je dégage le temps que j'appelle et qu'il me soit répondu... Au final, je n'ai pas eu à croiser la femme de l'immeuble à laquelle on ne la fait pas et qui m'aurait trouvée totalement indigne de l'image de la femme qu'elle veut donner d'elle-même et donc de toutes les autres... soit une bigote, soit une mère de famille-modèle... car Monsieur arrive et ouvre la porte récalcitrante...

L'accueil est franc et convivial... Dans le hall d'entrée, Monsieur me complimente sur ce qu'il voit, ce qui me ravit et me fait le remercier de la voix la plus féminine et chatte possible... L'ascenseur est petit, nos corps s'effleurent...

Arrivés sur place, je me présente à Madame en posant mes affaires... Madame est plus directive et m'ordonne aussi sec de me dévêtir, de ne garder que mes escarpins, mon string et mon soutien-gorge transparent et de me mettre à genoux... Madame est une Domina SM et possède son soumis attitré... qui est présent... Il est à genoux à ses pieds, nu comme un ver, mains dans le dos, tête baissée... plus tout jeune, totalement lisse aussi...

Je reste en place sans froncer un sourcil, me faisant objet de décoration discret, avec le doute soudain que mes limites n'aient pas été prises au sérieux par Madame, donc tout-à-coup prise de la peur d'avoir à subir ce que je ne pourrai supporter, car je suis une douillette et suis incapable de gérer la douleur...

Madame s'est maintenant assise sur le lit  et ordonne à son soumis de se tenir devant lui debout... Elle lui demande de rester totalement stoïque et de réfréner tout haussement de voix ou mouvement qui trahirait son ressenti. Elle commence par solliciter ses tétons, qu'il a très proéminants... elle les pince, les tord de plus en plus fort en prenant soin de se montrer aussi très ferme à la base desdits tétons avec ses ongles longs, les utilisant comme des pinces acérées... Les extrémités charnues de ses doigts ne sont pas en reste, elle les fait agir comme de véritables pinces plates pour martyriser et faire vriller sur près de 360 degrés les extrémités érectiles devenues dix fois plus grosses qu'un clito... La douleur toujours plus vive induit sur le sujet des gémissements et des mouvements réactifs que l'homme ne peut refouler, éructant des "Merci Madame", des "Pardon Madame" qui laissent sa Domina de marbre...

Madame ordonne ensuite à sa larve de se mettre en position, ce qu'il fait sans poser de question, ordre qu'il sait inteprêter sans hésitation et qu'il exécute à satisfaction sachant pertinemment ce qu'il lui en coûterait de ne pas le faire..., le faire en partie ou maladroitement... Il est toujours à genoux par terre, son haut du corps arquebouté en position ventrale sur le lit... Madame, préparant les accessoires qu'elle s'apprête à utiliser sur son soumis... lui demande si il s'est pratiqué un lavement... Celui-ci, honteux réplique qu'il n'a pas eu le temps... à peine a-t-elle entendu cette réponse qu'elle l'envoie à la salle de bain en quelques coups de martinet plus que bien sentis...

C'est ce moment qu'elle choisit pour m'interpeler et me préciser que je suis là pour le plaisir de son homme et qu'à ce titre je suis à sa totale disposition. J'obtempère d'un "Oui Madame". Monsieur resté en retrait jusque là s'approcha de moi, me demanda de me lever et se mit à me caresser, à me palper... à sortir mon clito de son emballage voilé et symbolique, à prendre visiblement plaisir à le retrousser et le câliner jusqu'à le faire grandir... Je ne suis pas une étoile de mer et me suis bien sûr inquiétée de ne pas laisser à l'étroit la virilité ferme et épaisse que ces premiers contacts firent gonfler... me faisant chatte et ondulante de tout mon corps pour bien montrer mes bonnes prédispositions. Je m'accroupis donc devant lui sur mes haut-talons, jambes bien écartées et je m'attachai à le déshabiller pour mieux me mettre au service et au niveau des ses attentes...

Entre temps, le soumis, enfin digne de sa Maîtresse, reprit sa place au pied du lit... et Madame entreprit de lui assouplir l'anus.. je pus très vite comprendre que l'objectif fut d'évaluer les progrès du soumis en vue d'être fistable, ce qu'il s'est manifestement engagé à subir avec succès dans un avenir proche....

Monsieur mit à profit ce temps pour amener sa queue à prendre possession de mes lèvres, de ma bouche et de ma gorge, avec délicatesse et délectation au jugé de ses soupirs de contentement; à mesure que sa prise de possession se faisait plus profonde, sa conquête de mes chairs buccales gagnait en fermeté et en profondeur. Après avoir jugé qu'il avait suffisamment fait connaissance avec ma bouche, dans un râle profond, il me traita de bonne salope, ce que je pris naturellement pour un compliment et l'en remercia. Il me fit lever et me demanda de rejoindre la partie du lit laissée libre par Madame et son soumis... toujours à l'entraînement...

Madame prenait son soumis en main, c'est peu dire... elle l'entreprenait, d'abord doucement avec un gros gode, puis très franchement avec tous ses doigts et presque sa main, jugeant au final que son soumis devait poursuivre son entraînement; il y avait manifestement eu progrès depuis la précédente évaluation...

Monsieur me fit mettre de façon à ce que ma croupe lui fut présentée de la plus explicite des manières; j'allai jusqu'à me cambrer au mieux de sorte à bien mettre en évidence que j'étais une femelle prête à la saillie et lui démonter mes prédispositions à lui appartenir.

Il entreprit de me fouiller et d'approfondir mes entrailles avec autant de passion et moins de délicatesse qu'il ne le fit pour ma bouche... avec force, vitalité et endurance pour qu'aucun coin, ni recoin ne restât inviolé.

J'entendis Madame m'ordonner : "Allez ! Montre-nous que tu es une vraie salope, couine ton statut !" elle portait donc un regard sur celle que j'étais... j'en fus honorée et m'appliquai à exprimer ce que je ressentais à être devenue la chair à plaisir de son mari. 

Je fus ainsi livrée, arqueboutée et secouée pendant près d'une demi-heure et testée dans toutes les positions possibles jusqu'à ce que Monsieur jouisse en moi (protégée malgré tout). Je fus donc déjà son objet de plaisir et saluée comme telle...

Madame fit ensuite une piqûre à vocation érectile sur son soumis et se mit à en vérifier l'effet en giflant consciencieusement et copieusement cette chair molle et pendante que la combinaison des deux traitements contribua à faire grossir et à faire se raidir.

Madame décida qu'il était temps de se bouger, donc pour moi de m'apprêter et vêtir ma tenue de salope pour afficher mon statut en pleine ville sous leur conduite...

J'allai donc préparer mes affaires pour me changer... je montrai tout d'abord mes cuissardes à Madame et Monsieur qui furent très satisfaits de leur look, puis j'entrepris de leur montrer ma tenue... et là ! je fus parcourue d'un frisson qui me glaça et me fit suer tout à la fois... j'avais beau regarder dans mes deux sacs, retourner toutes les affaires qui s'y trouvaient... rien qui ne ressemblait à ce que j'avais dit prévoir et mettre ne s'y trouvait... Mortifiée, je fis l'aveu de ma faute à Madame et Monsieur, qui sans se démonter me dirent simplement et fermement que je me rendrai vêtue ou plutôt dévêtue de ce qui me manque...

Je m'entendis lâcher un "bien Madame"... n'osant réaliser que j'allais me trouver avec mes cuissardes, des bas, un string avec une ficelle dans les fesses, un soutien gorge transparent et mon manteau à ras la chatte pour être être ainsi déambulée, affichée et je ne sais quoi encore en pleine ville sur le coup des 19h-20h... un soir de décembre, avant les fêtes... la soirée s'annonce en effet festive (mettre l'accent tonique sur le préfixe de festive...). Avec le stress qui progressivement m'envahit, je n'aurai au moins pas l'occasion d'avoir froid...

Le plus naturellement du monde, pour eux du moins, je me retrouve à suivre Madame, Monsieur, le soumis très bien habillé, direction le parking:.. Moi, toute concentrée à véhiculer ma presque complète nudité à peine voilée sour mon manteau recouvrant juste mes fesses et perchée sur mes échasses avec mon sac à main et un sac contenant ma tenue de femme bcbg pour la fin de soirée (où il est prévu que nous allions au restaurant). Nous montons dans leur voiture et direction la ville....

Nous voilà à pied dans le parking couvert... je me sens femelle et maladroite car très grande, bien plus grande que tous, au point que je dois prendre garde à ne pas laisser ma perruque se coincer sur les tuyauteries et autres sprinklers (buses incendie) du parking, ce qui me rendrait pour le coup irrémmédiablement honteuse... perdant le rang de femme-femelle que ma tenue a le mérite d'illustrer avec beaucoup d'à-propos semble-t-il... Une fois dans les rues, Madame et Monsieur semblent très satisfaits de me voir devoir m'assumer en salope sans concession; il m'emmènent; je les accompagne tantôt devant, tantôt derrière, eux s'amusant très certainement intérieurement des réactions admiratives, moqueuses ou dédaigneuses dont je suis l'objet au fil des mètres.

Je m'efforce d'affronter avec fièreté, le port haut, la démarche la plus sereine et féminine possible, les regards lourds, provocateurs ou réprobateurs dont je suis l'objet. L'une ou l'autre des professionnelles en poste m'ayant bien sûr repérée et calculée de très loin... m'accostent et m'invitent à les suivre..., proposition que je décline en n'omettant pas d'ajouter que j'appartiens à Madame et Monsieur en les montrant d'un de mes ongles vernis...

Je me sens mieux, même bien, ne craignant qu'une seule chose... qu'une irrégularité de terrain me jette à terre du haut de mes échasses et me laisse les quatre pattes à l'air avec tout ma nudité aux yeux de tous, offerte sans rémission, avec peut-être encore le manteau déchiré... et ne plus pouvoir faire semblant d'être digne... ou pire, être embarquée au poste par les premiers képis croisés pour attentat à la pudeur... Je balaie cette idée de ma tête et me concentre sur chacun de mes pas pour n'avoir à assumer que des hontes consenties ce soir...

De rues fréquentées en trottoirs envahis par les prostituées locales (enfin quand je dis locales... je parle de leur présence car ni leur chair, ni leurs origines sont locales...), nous longeons des vitrines coquines..., la balade exhibition se passe plutôt bien; la salope passe pour ce qu'elle est aux yeux de celles et ceux qui la croisent; elle finit par se dire qu'elle se faisait beaucoup de films sur ce qui allait lui arriver en s'affichant en plein jour... enfin en pleine nuit... enfin pas tout à fait car si il fait nuit, il y bien du monde partout...

Et d'une vitrine, il en est question devant moi... Madame et Monsieur, le soumis sont arrêtés devant la vitrine d'un sexe shop qui fait club... un club non pas de rencontres au sens noble du terme... mais d'un tripot underground et homo... D'un air entendu, le groupe entre dans ce sexe shop, moi leur emboîtant le pas par nécessité... Il est très grand, lumineux avec de grandes baies vitrées donnant sur la rue. Madame, sans trop s'attarder sur les articles proposés interpellent le caissier pour lui demander quelles sont les modalités d'accès au club et le prix. Un silence s'ensuit... le caissier dévisage le groupe et semble ne savoir quoi répondre... d'un ton, non pas gêné mais surpris par la question posée, de surcroît par une femme, il balbutie que le club est un club homo, s'inquiétant en cela de savoir si Madame avait conscience de ce dans quoi elle voulait mettre les pieds... mais avant même qu'il n'eût le temps d'enchaîner, Madame lui répondit sur un ton autoritaire qu'elle était au courant et que c'était justement pour cela qu'elle était là en montrant du doigt son soumis et la salope de service.... et qu'elle comptait bien mettre à profit la spécificité des lieux pour faire autorité... ce à quoi le caissier ne trouva rien à redire et encaissa les entrées...

L'entrée du club était à l'autre bout du magasin sous la forme d'une lourde porte... et là !, j'observai une scène qui me fit presque défaillir intérieurement... Le caissier dit à Madame et Monsieur que le vestiaire était à la caisse derrière lui... Je réalisai que contrairement à tous, moi... une fois mon manteau enlevé, je serai quasi nue sur mes échasses... pffff...

Monsieur me tendit le bras, et sans mot dire, je me vis enlever mon manteau et le tendre à Monsieur, me retrouvant en tant que celle que j'étais (et suis encore et toujours depuis lors...) au milieu du sexe shop et visible de la rue par tout un chacun... Je m'efforçai de garder pour moi mon bouillonnement intérieur... et dus constater que voilà, j'étais une salope exhibée sans rémission dans mon état de trav et mon statut de potentiel objet de plaisirs...

Cette stupeur passée et entrée dans le club... je me sentis paradoxalement d'emblée plus à l'aise à assumer mes hontes à venir, sachant que je ne risquais plus le regard d'un public que mon statut ou mon look aurait pu déplaire par définition... Me trouvant dans un univers homo, je suis consciente qu'une trav n'est pas nécessairement du goût de la faune fréquentant les lieux... les libertins sont sectaires... ils ne sont en cela que le reflet du genre humain... Mais pour le coup, Madame fait plus tache que moi dans le décorum...

En fait de club, il s'agit plus d'un coupe-gorge, au demeurant pas trop peuplé, muni de couloirs sombres, de peties pièces ou boudoirs plus ou moins accueillants, de cabines avec écran pour permettre aux esseulés de se soulager l'esprit et le reste... le tout formant un labyrinthe sombre et un peu glauque...

Après avoir déambulé et fait le tour du propriétaire, j'ai pu constater que notre groupe hétéroclyte était suivi... Quelques hommes se masturbaient devant moi en plus de me dévisager lorsque je passais à leur hauteur...

Puis, Madame finit par jeter son dévolu sur une petite pièce équipée d'un miroir au plafond d'un sling avec placet en cuir et d'un banc, le tout se voulant un autel à la gloire de ceux qui y trouvent l'occasion de laisser leur testostérone s'exprimer pleinement (paradoxe...) ou de celles comme moi qui y seraient mises en pâture... car c'est bien connu le féminin ne se décline pas que pour les femmes et les miss de mon genre... mais aussi pour tout homme qui n'est pas actif.. Madame m'ordonna de prendre place sur le sling et demanda à son soumis de se mettre à poil...

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Alors que j'étais à peine installée, jambes relevées le long des chaînes, aussi suspendue au sling que le sling l'était au plafond, ma croupe offerte à la vue de tous, Madame s'arnacha d'un gode ceinture qui me parut énôôôrme; un bon 25 par 6 cm... elle l'habilla d'un préservatif, le lubrifia avec soin, s'enquit d'ouvrir ma porte arrière en la lubirifant et se présenta à elle, face à moi, sans même m'adresser la parole ni même me porter un regard, entièrement dédiée à ce qu'elle voulait valider... La salope était-elle digne de ses avances ? Allait-elle être suffisamment motivée, motivante et souple pour ingérer dignement cette queue énorme qui devait manifestement servir à statuer de mon aptitude à me revendiquer en tant que celle je suis à ses yeux ... Elle se mit en position face à cette porte dont elle voulait s'assurer et tout à la fois s'enorgueillir d'être la détentrice des clés et me pénétra sans aucune hésitation, doucement mais avec fermeté, par petits appuis fermes et répétés et toujours plus prononcés jusqu'à ce que mon sphincter cède... Je gémissais et me mis à couiner autant pour me décontracter et rester accessible que pour prouver que la salope assumait son rang, voire y prenait du plaisir... cela ne devait en tous les cas laisser aucun doute quant au sens à donner à mes bruits aux yeux du public et Madame m'encourageait à laisser s'exprimer la femelle qu'elle honorait à mesure qu'elle prenait possession de mes entrailles et qu'elle me femélisait...

Une fois passé le cap du sphincter, elle me pénétra d'un coup à fond, faisant disparaître la totalité de ce gode monstrueux; cela m'arracha un couinement mêlé d'un râle... Madame compris que j'étais utilisable pour tous les formats de queues, vantant mes qualités de salopes en prenant à témoin le public présent... Excité par ce qu'il voyait autant que par le perspective de m'utiliser aux yeux de tous, Monsieur vint me remplir la bouche de sa queue en voie de durcissement... Madame me prit tant et plus, faisant aller et venir cette immense protèse tantôt vite, tantôt lentement, tantôt au fond, tantôt non, en la faisant sortir avant de la réentrer lentement et fermement, sans interruption, puis moins lentement. Mon sphincter se refermait et s'ouvrait pour ne pas dire se dillatait presque naturellement à force, Monsieur s'accordait aux rythmes et aux intensités de Madame en jouant de mon espace labial et de mes profondeurs guturales. Cela dura... un quart d'heure ?, une demi-heure ?, suffisamment longtemps pour que je n'aie plus la possibilité de resserrer mon anus et qu'il restât, à ce titre, ouvert de façon permanenete désormais aux sollicitations à venir. Je prenais conscience qu'il ne m'était plus possible de serrer les fesses et qu'à ce stade, même si je l'avais voulu, je n'aurais plus pu opposer quelque résistance physiologique que ce soit à toute forme de pénétration anale.

Monsieur avait compris que plus je me faisais remplir analement, plus j'avais tendance à m'exprimer en couinant et en ouvrant la bouche, il s'amusait à me remplir la bouche en réponse à chaque pénétration de Madame, je subissais une double pénétration à deux temps me faisant suffoquer, couiiner, émettre de gros bruits de sucion, réprimer des renvois, baver tout en même temps. C'était une forme d'ascendant, d'autorité et d'asservissement qui semblait plaire à Madame et monsieur.


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Au risuqe de me répéter... la durée et la persistance des sollicitations tant anales que buccales avaient fini par me faire lâcher prise... vous l'avez compris... ce sentiment est très fort ! Comprenez que je n'étais plus quelqu'un qui, avec conscience et maîtrise, gère son corps en se concentrant sur ce qui lui est fait, mais je devenais de la chair à disposition, sans la capacité physique ou nerveuse de me crisper ou de réagir aux pénétrations perpétrées... je ressentais mes orifices tels des vortex ouverts autour desquels mon corps emportés dans un tourbillon servait les plaisirs de celles et ceux qui le pénétraient... mon esprit et mon système nerveux se relâchant complètement... Madame elle, consciente ou non de ce qu'elle provoquait, me complimenta, me laissant halletante avec ma chatte restée béante à la vue de tous. Dans la foulée, elle commença à s'occuper de son soumis resté à l'entrée, spectateur de la scène au même titre que le reste du petit public présent.

Monsieur s'enquit de l'occupation de l'espace laissé libre par Madame; il abandonna celui d'entre-mes-lèvres  qui était à sa hauteur par la position que m'imposait le sling pour prendre place face à cette autre source de plaisir qu'il allait s'approprier pour la seconde fois de la soirée...

Le petit public amassé à l'entrée de la pièce ne perdait donc aucune miette de ce qui se déroulait sous ses yeux...  Monsieur entreprit donc de me sodomiser à son tour; il le fit d'emblée avec vigueur pour bien montrer à tous celle que j'étais et que mon statut de salope n'avait rien d'usurpé... Il me traita plusieurs fois des noms de celle que je suis en me demandant de confirmer à haute et intelligible voix pour rendre très clair à ce public que j'étais naturellement consentante et asservie à son autorité, ce qu'aucun ne pouvait mettre en doute après le traitement consenti par Madame :

" Ouiiii Monsieur!, je suis une salope !"

Si j'ai qualifié la sodomie de Monsieur de vigoureuse en début de soirée, là !, elle fut virile... Les coups de boutoirs furent bien plus marqués, consentis sans aucune retenue, son corps claquant au passage mes fesses dans de grands bruits de chairs maltraitées. Il avait pris possession de sa salope et le démontrait avec fièreté et l'assurance d'un propriétaire; je laissais couiner la femelle qui était ainsi honorée démontrant ainsi à quel point je me sentais fière d'être ainsi traitée...

"Oh Monsieur ! Mercii, faites de moi votre salope !"

Monsieur arranguait le public les enjoignant à venir profiter et abuser de celle ainsi mise en pâture et qui n'avait aucun pouvoir de dire non.

Mais à ma grande surprise et à celle de Madame et Monsieur, le public présent était composé, comme ils le qualifiaient eux-mêmes, de timides, soit de voyeurs... Toujours est-il que, malgré les invitations répétées de Madame et Monsieur à venir faire usage de la salope qui devait prouver qu'elle en était une..., seuls deux hommes vinrent présenter leur queue au soumis et à moi-même...

Je fis honneur à la queue présentée pendant que Monsieur continuait de me tringler avec vigueur; malgré les propositions réitérées de Monsieur au propriétaire de ladite queue que je suçais de me sodomiser, celui-ci déclinait et prenait visiblement plaisir à regarder Monsieur me sodomiser sans relâche et se contentait du plaisir que lui procurait ma bouche, dont les allers-retours tout au long de son membre raidi étaient dictés par les coups de reins de Monsieur...


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Travaillée comme je l'étais depuis plus d'une demi-heure, Monsieur en sueur à force de m'emmancher et de m'entreprendre dans les grandes largeurs, totalement offerte, ouverte et lascive, je me sentais toujours plus chair docile dédiée aux plaisirs... et ma chatte déjà bien prédisposée en temps normal, d'autant plus après le travail de fond de Madame, était encore moins en mesure d'opposer la moindre contraction aux innombrables coups de queue de Monsieur.

Madame avait déplacé son soumis que je devinais assis dans le couloir, et le faisait oeuvrer  sur la queue d'un homme debout qu'il s'efforçait de faire jouir. Parallèllement, Madame tentait vainement de convaincre ou de motiver les timides de venir faire usage de la salope toujours en train de couiner et gémir la bouche pleine et sous les coups de boutoir de Monsieur.

Monsieur, légitimement entamé par tant de ardeurs, décida de se retirer et se mit à câliner mon cito doucement amicalement, comme par reconnaissance tout en contemplant ce qui se passait aux alentours; il demanda à mon chevalier servant buccal si il ne voulait vraiment pas profiter de défoncer la chienne que je suis... Celui-ci déclina à nouveau prétextant se contenter de mes services labiaux et buccaux... qui devaient manifestement être à la hauteur des attentes de cet homme (sourire...).

Je me mis à conclure en mon for intérieur, soudainement en proie à un élan de psychologie masculline, que l'égo des ces voyeurs avait été mis à mal face à l'endurance et la force de frappe affichées par Monsieur et qu'ils me dédaignaient pour ne pas passer pour des éjaculateurs précoces, sans se rendre compte que je ne devais en fait servir qu'à cela... faire jouir en 30 secondes ou en 1 heure peu importe, je devais juste faire la preuve de ma docilité et de ma capacité à m'offrir et à faire jouir...

Je trouvais dommage de ne pas avoir l'occasion de mieux et plus démontrer à Madame et Monsieur que j'étais en mesure de satisfaire les attentes qu'ils plaçaient en moi.

Sur ces entrefaits, arriva un jeune homme manifestant un intérêt sonore à ce qu'il voyait. Invité par Madame et par Monsieur à concrétiser son intérêt, il profita de l'aubaine qui lui était offerte que d'avoir une bouche et un cul libres et totalement disponibles pour assouvir et donner libre cours à son excitation. Le jeune homme devait être commentateur sportif, car il ne se contentait pas de m'oeuvrer, mais accompagnait ses élans de force commentaires tout en produisant de profonds râles aussi caverneux que la profondeur de ses fouilles dans mes chairs. Monsieur m'encouragea à laisser exprimer vocalement la salope que j'étais, certainement avec l'intention d'ameuter de nouveaux prétendants pour faire saillir la propriété charnelle que j'étais devenue.

Mon ardent et bruyant pourfendeur d'anus s'agita de plus en plus bruyamment, de plus en plus  vigoureusement pour finir par jouir dans un râle encore plus profond et sonore que les précédents traduisant en cela un contentement et un soulagement non feints...

J'entendais plus loin Madame encourager l'homme, que le soumis suçait, à se faire jouir en se branlant devant la larve... ce qu'il fit manifestement.

Madame et Monsieur décidérent que le jeu et notre mise en situation avait assez duré et rassemblèrent nos affaires pour quitter les lieux. J'avais demandé à Monsieur de me filmer pour preuve de ce qu'il obtenait de moi... et il réalisa que trop occupé à remplir son rôle et mes chairs, cela ne fut pas fait à mon grand regret...

Je me retrouvai quelques minutes plus tard à nouveau quasi nue au milieu du sexe shop et pris peur en me voyant dans un miroir, en constatant  à quel point j'étais visuellement défaite... ma perruque quasi irrattrapable à force d'avoir été frottée sur le cuir du sling en subissant les mouvements imprimés par les assauts incessants dont j'avais été gratifiée... mes yeux et le maquillage qui va avec avaient coulés... je me sentais pourtant moins honteuse qu'en arrivant... étant acquis que les personnes présentes venaient, soit de me voir dans une situation bien plus avilissante, soit étaient les instigateurs de ce que je venais de vivre... Mon manteau enfilé, je m'attelai à me redonner un semblant de figure humainemettant à profit un miroir au milieu du sexe shop, avant que de me retrouver dans la rue...

Madame, Monsieur et le soumis reprirent leur promenade dans les rues. Beaucoup de monde partout... une population de noctambules, désireux de profiter de ce que le quartier chaud pouvait leur procurer. Nul doute que j'étais pour certains une des composantes de leurs attentes... des groupes m'interpelaient, m'enjoignant à les suivre...

Je fus interloquées par le fait que nous nous éloignions du parking où se trouvait la voiture... J'imaginais que nous allions nous en rapprocher pour que je puisse me faire féminine et me changer en vue d'aller au restaurant. Il n'en fut rien... Monsieur me filmait en train de déambuler et s'amusait de ce que j'assumais mon rang... je déambulais devant eux et continuais d'être accostée sous diverses formes tous les cinquantes mètres...


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Je fis part à Monsieur de mon inquiétude... il me regarda interloqué, ou feignant de l'être..., et me demanda pourquoi ? Je lui rappelai sur un ton un peu déconfit que j'étais toujours quasi nue sous mon manteau et que je ne pouvais imaginer entrer dans un restaurant lambda ainsi présentée... Il  me répondit par un laconique : "T'inquiète...". Le sentiment de confort qui m'habitait s'évanouit aussitôt, faisant place à un stress et une angoisse grandissante... Je m'imaginais tendant mon manteau à Monsieur ou au serveur (à la serveuse ?!!...) et faisant face à des réactions dont je ne pouvais même pas concevoir quelles elles allaient être... Liquéfiée que je me trouvai...

Je ne pouvais dans l'immédiat faire autrement que de rester concentrée sur la gestion de mes pas et la gestion d'un black qui venait de s'extraire d'un groupe en me gratifiant au passage, dans un français des cités, d'un "t'es bonne toi !..." à peine m'avait-il saluée, je le vis marcher à mes côtés... Préoccupée par tout cela, je n'entendis pas Monsieur m'appeler plusieurs fois... jusqu'à devoir crier mon prénom plusieurs fois à la volée devant tout le monde pour que je le perçoive... Je revins sur mes pas, piteuse, plantant là mon sombre soupirant...

A mon grand effarement, Madame et Monsieur avaient jeté leur dévolu sur un restaurant très lumineux dont le niveau était un peu surélevé par rapport à celui du trottoir... et dont les tables étaient collées aux fenêtres dénudées qui donnaient sur la rue...

J'avais le choix entre la lourdeur du groupe de blacks sur le trottoir, en faisant de la résistance aux volontés de Madame et Monsieur, ou de les suivre dans le restaurant... Les deux alternatives représentaient un saut dans un inconnu que je ne maîtrisais pas... Je choisis (verbe très mal choisi...car de choix, il n'y avait de moi aucun...) bien sûr de m'en remettre à mes propriétaires du soir et entrai chancelante dans le restaurant derrière eux...

Le restaurant n'avait pas de vestiaire à l'entrée... ce qui m'évita d'avoir à me défaire avant même d'entrer... j'en fus soulagée... quelques tablées nous accueillèrent du regard. En réponse à l'accueil souriant de la serveuse, Madame et Monsieur chosirent de nous installer contre une fenêtre au coin du restaurant. Je fus mise au coin contre la fenêtre, bien mise en vue des passants qui défilaient sur le trottoir mais discrètement placée, eût égard aux clients attablés.... je pus m'installer en gardant mon manteau... un prétexte bien féminin me vint à l'esprit que je n'avais pas imaginé plus tôt... une femme est frileuse par définition... je le fus donc au point de garder mon manteau pour manger et contre la fenêtre, cela faisait sens... j'avais trouvé une réponse à une question que j'envisageais très embarrassante jusque-là... je me détendis...

Nous passâmes commande; la serveuse, aucunement dupe de la situation, nous balançait avec emphase et habitée d'un grand sourire entendu des "Mesdames" par-ci et des "Mesdames" par-là ce qui finit de me mettre à l'aise dans ma peau de femme. Je m'enhardis même au fil des minutes à ouvrir quelques boutons de mon manteau qui laissaient en conséquence apparaître le voilage de mon soutien-gorge dans le décolleté du manteau; geste auquel Madame et Monsieur répondirent par un sourire complice. Un peu plus tard, je libérai l'accès à mon clito en ouvrant le bas de mon manteau. Laissé ainsi libre d'acès au regard de Monsieur assis à mes côtés, il ne se priva pas de le câliner comme il avait pris l'habitude de le faire depuis notre rencontre en début de soirée entre d'autres formes de sollicitations...

 

Le repas fut convivial et très agréable; les conversations nourries... Au moment du départ, la serveuse radieuse nous gratifia d'un "Bonsoir Mesdames !, Merci et passez une bonne soirée !" qui me fit penser que son enthousiasme allait au-delà de la simple politesse commerciale et de circonstance...

Le retour se passa le plus normalement du monde; j'avais subitement acquis une forme de recul quant au fait d'avoir à déambuler dans mon look de salope, qui plus est quasi nue sous son manteau... et je garde une fièreté  liée au fait d'avoir retiré du plaisir, d'avoir ainsi pu et su progresser vers celle que je revendique devenir... Je suis reconnaissant à Madame et Monsieur de m'avoir guidée et fait progresser avec tact, compétence, naturel, autorité et une délicate perversité sur ce chemin, et j'espère avoir à nouveau l'occasion de leur être digne dans le contexte de leur choix.

Un dernier frisson me parcourut au moment d'arriver devant chez moi et de me rendre en femme déconfite jusque dans mon appartement sis tout en haut de l'immeuble avec l'angoisse de croiser un voisin ou une voisine en partance ou de retour de la promenade du chien... la chienne, elle, se devant de se rendre par elle-même et très discrètement chez elle pour se redonner une apparence ordinaire...

 

 

Toutepourvous                                                       

alias Femme et Femelle, soumise et assumée                  

 


ps : je n'ai de ce souvenir qu'une courte vidéo tournée en pleine rue, preuve que Madame et
      Monsieur ont été bien occupés à me mettre en situation...

 

 



 

 


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