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Week end de mise en immersion (1ère partie)...

Monsieur m'avait contactée en tant que le dominateur d'une femme qui lui était soumise au sens bdSM et sexuel du terme... Nous avons échangé pendant quelque temps, suffisamment longtemps pour qu'il puisse s'assurer que je fus digne d'intérêt, digne de pouvoir le satisfaire et me montrer à la hauteur de ses attentes... Moi je comptais qu'il soit cet homme pouvant évoluer avec assurance avec une personne de mon genre en public, en société comme en privé, faisant preuve d'une autorité naturelle de fait, et dominant sexuellement parlant, avec des arguments cérébraux et physiques susceptibles de faire vivre une vraie expérience de mise en immersion à la travestie timorée mais pleine de bonne volonté que je suis... ou que j'étais...

Quelques semaines plus tard, il me convoqua chez lui. Il résidait à 150 km de chez moi... pour un week end durant lequel, dit-il, j'aurai tout loisir de lui prouver si j'étais à la hauteur des deux formes idéales de féminité qu'il s'attendait à ce que j'exprime...

Il m'ordonna de venir en femme bcbg... de prévoir des tenues pour le week end qui me permettent de sortir en femme et en "salope" comme il se plaisait à me qualifier quand la perspective de m'avoir sous sa coupe le faisait s'emballer...

Je dus donc envisager de faire 150km en voiture, passer la frontière, les péages, le tout en plein jour, me rendre dans le centre d'une grande ville que je ne connaissais pas et devoir certainement demander mon chemin quelques fois... puis déambuler jusque chez Monsieur avec mes affaires, perchée sur mes talons aiguilles... toutes choses que je n'avais jamais pratiquées jusque-là...

Le jour venu, je m'apprêtai, pris soin de m'épiler totalement, me fis les ongles, me maquillai avec soin, mis mes faux cils pour paraître la plus féminine possible mais en faisant en sorte de ne pas donner dans la caricature... Monsieur a dit féminine bcbg.... Je préparai toutes mes petites affaires, du maquillage à tous les vêtements que j'allais devoir mettre... ou enlever, des plus élégants au plus, disons... suggestifs !

Je pris la route en début d'après-midi... une heure et demie de route se passa le plus normalement du monde... j'étais l'objet de regards appuyés de certains automobilistes enclin au voyeurisme alors qu'ils me dépassaient... Je me demandais ce qu'ils pensaient... me considéraient-ils comme une bio désirable qu'ils se feraient bien... ou arrivaient-il pendant ce court laps de temps à déceler ce qui se cachait sous ces traits féminins... ce qui n'aurait certainement que rajouter aux désirs de certains d'entre eux... pas tous forcément...

C'était trop beau pour que cela dure... arrivée à un péage, sans que je ne puisse anticiper quoi que ce soit... c'est en m'engageant dans l'étranglement qui mène à la caisse automatique que je faillis m'étrangler... il y avait des gendarmes et des gendarmettes à peu près derrière chaque caisse...

Je ravalai avec peine ma salive pour ne pas m'étrangler... au moins étais-je assise !, ce qui m'empêcha de vaciller... Je respirai profondément en glissant les petites pièces dans la fente de la caisse, mon coeur battait la chamade, et ma cervelle bouillonnait sur ce qui m'attendait dans les secondes et minutes à venir. Je m'imaginais la tête de l'uniforme de piquet qui, après m'avoir demandé mes papiers, allait réaliser qu'il y avait comme un décalage entre ce qu'il voyait en photo et face à lui... 

A peine, avais-je payé que je dus constater qu'une gendarmette fit l'effort de changer de voie pour venir vers moi... en plus une fliquette, la honte !... La chaleur qui m'envahit à cet instant, traduite par la rougeur instantanée de mes joues, allait-il être perçu sous mon blush ?, ou par chance, ce dernier arriverait-il à l'estomper ?!, Je n'eus pas le le temps de me poser plus de questions, à peine je démarrai, que l'uniforme à formes féminines me fit signe de m'arrêter... je fis descendre la vitre...

"Bonjour Madame.." fis-je dans un ton qui se voulait doux et le plus naturel possible...

"Gendarmerie Nationale Bonjour ! Transportez-vous des marchandises ?" me fit-elle tout de go.

Je répondis que non... que j'étais en déplacement pour rendre visite à un ami... Ce qui, à priori, était exact.

Elle regardait l'arrière de la voiture d'un air que je devinais inquisiteur, pétrifiée à l'idée de ce qui m'attendait. Elle me demanda de baisser la vitre arrière... vive les vitres électriques !... Imaginez le tableau sans cette technologie... j'étais bonne pour sortir, me retrouver à ses côtés avec une bonne tête et demi de plus qu'elle, à me dandiner pour lui ouvrir la porte et descendre la fenêtre... car vous aurez certainement aussi noté comme moi, que fréquemment... nombre de personnes qui font ce genre de métier assoient leur autorité dans un uniforme ou dans une fonction pour compenser un déficit de hauteur...

La vitre baissée, elle jeta un oeil sur ce qui s'y trouvait, à savoir une valise... allais-je devoir faire étalage de mes dessous et tenues affriolantes... le cas échéant, elle va tomber nez à nez avec quelques jouets que Monsieur m'avait ordonné de prendre avec moi...

Pffff lessivée la fille derrière son volant...

Se doutait-elle de ce qui se tramait et me laissait-elle goger dans mon jus par jeu ?, ou étais-je capable de donner le change de façon suffisamment crédible pour qu'elle se sente rassurée ?. Toujours est-il qu'elle n'eut heureusement pas la curiosité de vouloir investiguer plus avant...

J'entendis un :

"C'est bon! Merci, je vous souhaite une bonne journée"

Auquel je répondis par un : "Merci, à vous aussi. Au revoir" de soulagement...

Arrivé en pleine ville, vous pensez bien que demander trois fois ma rue à des passants me semblait désormais dérisoire après ce que je venais de vivre... J'arrivais donc à bon port forte d'une expérience soudainement bien plus grande et me trouvai presque sereine au moment de sortir de mon véhicule garé à proximité de l'immeuble de Monsieur.

Je dus juste faire face à une horde d'adolescents, enfin vieux adolescents..., en bande qui jouaient au basket derrière un grillage et qui m'adressèrent quelques sifflets dragueurs auxquels, en vraie femme, je ne répondis que par la plus parfaite indifférence, comme l'aurait fait, j'imagine, n'importe quelle femme dans la même posture...

Arrivée à bon port, je sonnai à la porte de l'mmeuble, Monsieur vint m'accueillir, m'embrassa poliment, me complimenta sur mon look et ma tenue, prit ma valise et me fit monter chez lui. Un bel appartement de haut standing. Monsieur a bonne prestance, le ton sûr, très à l'aise face à celle que je suis... Cela me mit en confiance; je me sentis d'autant mieux dans ma peau de femme élégante et me trouvai ravie d'avoir à me vivre pleinement désormais sans contrainte administrative...

Monsieur me proposa de m'installer dans la chambre d'amis. Il m'intima de lui présenter ce que j'avais à disposition pour passer le week end. Tout en s'afférant à préparer une collation et en buvant un verre, il me fit faire maints allers-retours, de la chambre au salon, voulant voir tout ce que j'étais en mesure de proposer, niveau look... me faisant déambuler dans le salon; j'imaginais que c'était autant pour juger de ma capacité à me mouvoir et me comporter en femme que pour juger du côté plaisant ou non de mes tenues. La discussion était plaisante, accompagnée d'un verre; je m'attelai aussi entre deux essayages à l'aider à préparer notre collation. Il me signifia quelles étaient les tenues dans lesquelles il voulait me voir tout en me dévoilant dans les grandes lignes ce qu'il avait envisagé... 

Monsieur m'intima de me présenter dans une tenue particulièrement sexy qui devait dévoiler avant que de le démontrer le versant salope de ma personne alors que j'avais mis en évidence jusque-là mon côté femme et féminin... Je déambulai donc de façon plus lascive... Monsieur mit à profit cette présentation pour oublier ses préparatifs et s'approcha de moi manifestement désireux d'entamer quelques investigations pour jauger de la salope qu'il voulait aussi voir en moi et évaluer mon aptitude à en être une... Vêtue de mes cuissardes d'une robe à mailles larges hyper courte, d'un mini string... (voir la photo...).

Monsieur se planta devant moi en tâtant la viande qui lui était ainsi présentée et m'ordonna de me mettre au niveau... Ce que je fis en m'accroupissant devant lui, les genoux très écartés... je dégraphai son pantalon et sentis, ce faisant,  que Monsieur était au bénéfice d'une virilité très envahissante, ce qui me ravit... je palpai avec délicatesse et passion cet objet de désir que j'avais envie de faire mien, d'autant que seul le caleçon de Monsieur me séparait de lui... Je ne tardai pas à le libérer de son enveloppe de tissu et constatai combien il était désireux de se tendre vers moi et exprimer pleinement son envie de liberté... liberté paradoxale, puisqu'elle vise à se nicher au plus vite dans des interstices encores plus étroits mais tellement plus chauds et humides...

Je répondis donc avec délectation à ce besoin de liberté, auquel Monsieur répondit aussitôt par des mots d'encouragement et par des mouvements de bassin et des crispations qui me confirmèrent le bienfait de ce que j'étais en train de prodiguer... ma langue jouait avec ce gland épais, doux et galbé, puis ma bouche engloutissait goulument l'entier de cette chair abondante qui me remplissait jusqu'à la gorge; je la faisais revenir à l'air libre doucement, pour la faire réentrer tout aussi doucement, laissant le temps à mon hôte de s'imaginer ce qui était en train de se produire pour son bien (et le mien...) centimètre par centimètre... Puis, je laissais ma bouche s'empaler plus ardemment sur ce vit dur, vibrant de désirs, en plusieurs va-et-vient vigoureux, auxquels une ardeur encore plus grande me répondait, ardeur confirmée par deux mains qui m'enserraient la tête pour mieux prendre emprise sur ce que je livrais... je me laissais aller avec bonheur à devoir assumer ce statut de femelle bienfaisante, remplie de la satisfaction d'en donner...

Monsieur semblait rassuré sur le fait d'avoir désormais à sa disposition une bonne goulue buccalement parlant... Suffisamment convaincu pour m'annoncer qu'il allait me sortir le soir même en ville... (à suivre)