TpV : En tant que Gouine

TpV : Telle qu'elle se sent, se voit ou se montre...

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Par toutepourvous

Baptème sans concession (3ème partie)...


... Toujours pimpante et bien de ma personne dans ma robe coktail et mes hauts talons... Monsieur m'attira sur le lit mais son téléphone bipant des contacts à venir, il me demanda de prendre des poses suggestives mettant en évidence mes courbes...

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celles-là même qu'il allait consommer et partager.


Son téléphone dans une main, il s'affaira à défaire sa braguette pour en laisser sortir sa queue. Si il était ventirpotent, sa queue faisait preuve d'un réel intérêt pour celle qui était devant elle... car elle était déjà tendue vers son objectif. Une queue pas très longue, mais d'un diamètre fort honorable, pubis rasé, boules lisses, tout pour bien faire... 

je n'eus pas l'occasion d'admirer ce dard de chair plus longtemps. Alors que le téléphone se mit à sonner, Monsieur m'intima d'un geste à venir m'asseoir au bord du lit, et tout en répondant au téléphone, il me prit la tête pour me faire gober son membre.

C'était un des complices qui confirmait son heure d'arrivée. Monsieur lui confirma que la chair à plaisirs était à pied d'oeuvre et qu'elle avait commencé à faire honneur à sa présence... et de l'entendre décrire par le menu ce que j'étais en train de pratiquer sur lui-même. Il était dès lors clair que j'oeuvrai à la satisfaction de mon hôte et qui, cette conversation terminée, s'attela à me faire gérer ma façon de prendre sa queue en bouche à sa sauce, en me prenant la tête des deux mains pour bien dicter comment il entendait que je fasse usage de mes lèvres et de ma gorge... Mais surtout pour asseoir formellement son ascendant sur moi, si besoin était.

 

Tout en maintenant ma tête sur sa queue, il contourna un des coins du lit, me forçant à me pencher et me mettre à 4 pattes sur le lit, ma croupe à portée de sa main droite. Tout en maintenant ma tête bien à sa main, il pouvait dès lors palper ma croupe et la complimenter pour ses rondeurs toute féminine. Je me fis plus femelle en me cambrant le plus possible pour bien faire ressortir ce qui plaisait...

Me sentir ainsi sollicité me laissait échapper des petits jappements de femelle en chaleur à peine étouffés par les allers-retours de Monsieur dans mon intimité buccale. Mlonsieur avait déjà relevé ma robe... seul mon string soulignait plus qu'il ne cachait mes fesses. Des tapes et des caresses empreinte d'avidité et d'émerveillement accompagnaient désormais la fellation que je procurais à Monsieur. Nul doute que tout en savourant mes lèvres et ma langue autour de son gland et de sa queue dure comme du bois, il devait à présent ne penser qu'aux sensations qu'allait lui procurer mon spincter autour de son membre.

Cette séquence devenue inéluctable, il me fit tourner et présenter ma croupe face à lui; ceci fait, commença à se masturber tout en observant de plus près l'objet de ses convoitises; la constatant tout à fait lisse, il s'enquit d'en écarter les bords pour que ma petite fleur lui soit tout-à-fait visible. J'écartai me genoux et me cambrai pour que seuls mes fesses et mon cul occupent son champ de vision. N'y voyant plus qu'une croupe de femme, il se mit à lubrifier mon entre-fesse en l'embrassant et en le léchouillant conscieusement, allant jusqu'à suçôter sa partie la plus intime, ce qui me fit glousser de contentement. Il me farfouillait avec sa langue, puis me prit les hanches des deux mains pour bien se plaquer entre mes fesses. Rien ne me fait sentir autant femme et femelle que d'être entreprise de la sorte.

Il lui apparut assez vite impérieux de faire le baptême de mon cul pour sa queue. Il emmaillota sa queue et s'appliqua à la lubrifier, ce qu'il fit également autour ma rosette en s'assurant de son aptitude à s'offrir en introduisant son majeur puis son pouce. Mon intimité était donc prête à être consommée. Son téléphone se remit à biper, mais il n'était pas question d'interrompre son élan à ce degré d'avancement...

Je me fis encore plus largement ouverte en écartant encore plus mes genoux et plaquai mes épaules sur le lit pour me présenter comme une femelle soumise face à son mâle alpha...

Ce signal on ne peut plus animal, fit s'avancer le fauve vers sa belle qu'il empoigna par les chairs de ses hanche pour bien lui faire comprendre que, dès ce moment, il n'était plus question de résister à ce qui allait s'ensuivre. Il n'en était toutefois nullement question...

Il présenta sa queue à mon intimité anale, commença par frapper à la porte de façon récurrente par des appuis fermes sur ma rondelle, sans l'ouvrir, puis sans violence mais avec une lente fermeté, il pénétra cet anus désormais sien, lentement de façon continue jusqu'à la garde laissant échapper à la femelle un feulement face à cette première entrée en matière; le passage nécessite toujours un effort de relâchement qui s'accompagne d'un couinement traduisant tout à la fois l'effort et le contentement de se sentir envahie de chair.

Une fois conquise, mon intimité fut largement fouillée et mon hôte se sentit surffisament bien et avec le désir d'y rester, qu'il se remit à vaquer au suivi des messages sur son téléphone tout en me sodomisant pour garder intact sa vigueur qui ne faisait pas défaut.

Une sonnerie et je l'entendis répondre et décrire la scène qu'il était en train de savourer. Une fois raccroché, il s'excusa de sortir de son antre chaud pour me dire que les deux premiers complices étaient à la porte. Il me demanda de me remettre à 4 pattes sur le lit et de me tenir cambrée et d'exprimer mon envie de faire plaisir avec des yeux et un sourire charmeurs. Ce que je fis.

Monsieur s'était mis à nu. J'entendis les formules d'usage entre les convives et je pus en déduire que les deux compères ne connaissaient pas Monsieur. J'entendis aussi Monsieur faire l'éloge du présent qu'il allait leur faire en se targuant de l'avoir préparé et conditionné le présent en question. Avoir été prise m'avait rendue à ce stade, plus désireuse que nerveuse de me prouver femelle et de m'en rendre digne aux yeux de mes conquérants.

Je compris qu'en discutant, les deux hommes qui étaient deux complies libertins, se mettaient au diapason de monsieur; c'est-à-dire nus comme des vers... Je suis au final celle qui est la plus habillée hihi...

Le trio arrive dans la pièce et j'entends Monsieur les interpeller :

"- Messieurs, voici l'objet de votre venue. Toutepourvous est son pseudo... Erika son nom. elle est ici pour faire honneur à son pseudo. Je vous invite à la challenger !"

"Bonjur Messieurs !" retournai-je d'un ton mi miel, mi timide.

"Ah oui... Belle chienne !" répondit le premier

Le deuxième, moins contemplatif s'approcha tout de suite du lit et profitant de ma position de profil et toujours à 4 pattes, se mit à palper mon corps et chercha une validation :

"Alors, Toutepournous dis-tu ?"

"Oui Monsieur !" fis-je sur un ton qui se voulait à la fois respectueux, réservé et féminin.

"Nous avons une grande envie que tu sois à la hauteur de celle que tu prétends être !" ajouta-t-il.

"Oui Monsieur, je comprends" répondis-je.

Pour montrer mes bonnes dispositions, je mis ma main sur la cuisse de l'homme et je me mis à le caresser en remontant jusqu'à effleurer son membre, qui entama son érection. Toujours assis, il semblait autant interessé par mes seins que par ma croupe, il se mit à faire passer ma robe coktail par dessus mes tétons; pour mémoire ma robe s'arrête à hauteur de mes fesses et n'a pas de bretelles. Elle laisse donc apparaître mes épaules. Il se mit à jouer avec un de mes tétons ainsi libéré, le caressant le pinçotant entre ses doigts, l'étirant doucement aussi.

les deux compère regardaient la scène et se masturbaient. Le deuxième décida qu'il était temps d'apprivoiser à son tour le femelle. Il vint prendre la place au bord du lit laissée vide par Monsieur, et me fit comprendre qu'il fallait que je le salue en le prenant en bouche. J'étais là pour prouver ma docilité donc je ne me fis pas prier.

Les deux hommes sont de corpulence normale, poilus, mais des sexes entretenus et lisses. Les sexes sont agréables de taille juste au-dessus de la moyenne. Je me dis que c'est bien ainsi, car si le nombre de prétendants avancé par Monsieur se confirme autant que je ne sois pas dilatée d'entrée de jeu. Ils sont à l'aise et n'en sont pas à leur coup d'essai. Je les sens disposés à profiter de leur femelle sans se presser, jusqu'à en abuser...

Tout en suçant la queue qui s'est présentée à moi, je continue de caresser le membre à main droite qui est désormais dressé fièrement et certainement désireux de m'approfondir différemment.

Monsieur s'inquiète subitement du bien-être de mes protagonistes.

"Alors Messieurs ?, la chair est-elle suffisamment fraîche ?!. lança-t-il.

"Elle donne envie que l'on la traite dignement !" entendis-je répondre.

Se sentant l'obligation de mieux tester pour bien répondre, la question eut pour conséquence d'enhardir mon vis-à-vis qui accéléra la cadence des ses vas-et-vients buccaux tout en testant la potentielle profondeur de mon accueil. Je manque de m'étouffer, il compense alors le manque de profondeur, sans relâcher l'intensité, par l'accélération des mouvements. Je confirme par des gémissements le fait de me sentir ainsi élevée au rang de chienne. Cela motive son comparse à se lever et à venir le rejoindre. J'ai à présent deux queues sous le nez enfin plutôt en bouche. Les deux comparses se tiennent côté à côte et semblent apprécier le fait qu'ils puissent ensemble glisser leur virilité entre mes lèvres. Je m'agrippe à eux pour garder ma bouche à bon hauteur et leur donner ainsi l'assurance que seules mes chairs buccales restent en contact avec leur intimité respective devenue grosse.

Monsieur, ayant pris soin de se recaoutchouter, et par le spectacle alléché, s'en vient à sont tour sur le lit et reprend la place qu'il avait quittée pour accueillir les deux amis. Il me sodomise sans concession ni ménagement, le chemin ayant été élagué et ayant pu le rassurer que j'étais faite pour cela quelques minutes plus tôt. Il s'agissait pour lui de le prouver à mes hôtes buccaux.

Je suis cette fois remplie par tous les trous selon l'expression consacrée. Sentant qu'il est temps pour les deux compères de poursuivre leurs investigations plus avant, il leur propose de venir prendre sa place.

Le premier homme vint donc à son tour se présenter à mes arrières. Pour mieux me rendre disponible la femelle se couche sur le flanc et plie une de ses jambes mettant en valeur ainsi ses jambes et ses bas autant que sa croupe. Devinant l'aubaine, l'homme s'agenouilla par-dessus ma jambe laissée tendue et me doigta le cul d'une main en écartant mes fesses de l'autre. Pendant ce temps pour bien profiter du spectacle et continuer de sentir ma bouche s'affairer sur sa queue, son copain est venu s'agenouiller sur le lit. J'ai glissé un bras sous son entre-jambe pour pouvoir plaquer ma main sur ses fesses et caresser son torse de l'autre. Il apprécie cette familiarité qu'il interprête comme une invitation à reprendre sa prise buccale. Je caresse son corps, passant ma main de sa poitrine à sa queue, caresses que je pratqiue en alternance avec des séjours le long de la queue de Monsieur qui, devenu spectateur, est ainsi également partie prenante de ma femélisation plurielle.

Mon chevalier servant chevauche désormais sa jument. Il la tient par la hanche et avec de grands mouvements de bassins fait claquer mes fesses à chaque coup de bélier donné à mes entrailles. Je n'ai plus besoin de m'activer chaque coup de queue dans mon cul me fait avaler la queue que j'ai en bouche; chaque prise d'élan me fait régurgiter ce vit en vie jusqu'au coup de bélier suivant qui me remplit le cul de chair autant que la bouche.

je suis réduite à l'état de chair à plaisirs ou celui de viande à queue. Je ne maîtrise plus mes bras qui se balancent derrière ma tête, laissant dévoiler mes aisselles toutes lisses et mes seins se balançant au gré de mouvements de marée.

Tout cela dans des râles de bêtes en rut et les couinements de la femelle seulement interrompus par des "Putain, que c'est bon !", des "Ah c'te salope !", ou des "Allez, montre-nous comme tu es une chienne !".

En se retirant et en me mettant sur le dos, le sodomiseur propose à son complice de le remplacer.

Monsieur suggère de me mettre la tête en arrière au bord du lit. Juste le temps de s'équiper et voilà que le complice, agenouillé face à moi, me prend les chevilles, me relève les jambes et me les replie de chaque côté de mon torse; totalement ouverte et offerte ainsi; je garde la position en enveloppant mes mollets de mes avant-bras et de mes mains. Voir mes talons aiguilles, mes jambes gainées de bas et être ainsi offerte sur l'étal des désirs de mes prétendants me rend fière de mon état.

Monsieur n'a pas perdu son temps, le voilà au bord du lit penché au-dessus de moi s'activant dans ma bouche qu'il astique sans ménagement me faisant couiner d'inconfort, d'écoeurement et par la nécessité de manifester mon état de soumise sexuelle. 

je suis maintenant sodomisée sans ménagement tout en étant amenée comme précédemment à sentir mes trous se remplir et se vider au gré des allers-retours que je subis.

je sens une main caresser mon clito... j'ai peur de jouir; non pas que cela m'empêcherait d'assumer mon rôle par la suite, car je sais que je peux avoir le feu aux cul même après jouissance, mais car j'imagine, à tort ou à raison, qu'il n'est pas digne de mon statut que d'afficher mon plaisir de la sorte. Je sens qu'une autre main amène mon bras vers une queue pour que je la branle avec ma main, l'autre étant occupée à caresser les fesses de Monsieur qui chevauche ma bouche avec toujours autant de conviction.

Le propriétaire de la main qui joue avec mon clito n'est autres que l'amateur de tétons qui se mit en tête de têter et suçoter celui qui se trouve à sa portée; à 4 pattes, il offre à ma main sa queue et ses couilles balantes. Je malaxe, palpe et masturbe ce service trois pièces pendant que sa bouche s'affaire sur mon téton qui ne tient pas en place vu le traitement auquel je fais face par ailleurs. Nous jouons de concertmoi avec son membre raide et lui avec mon clito tout mou.

Par politesse, le sodomiseur de service proposa à mon suçoteur-branleur de prendre sa place. Son copain écida de remettre ma croupe sur le flanc pour la chevaucher de la même manière que son copain l'avait fait. je me sens écartelée entre mon haut du corps maintenu sur le dos, mes hanches offertes de côté et mon cul défoncé par une queue qui ne demande qu'à ce qu'il s'offre jusqu'à faire jouir ce membre.

Cela fait sûrement une demi-heure que je me fais astiquer en long et en large et je sens que ces messieurs envisagent la façon dont ils ont envie de jouir. Monsieur les convaint de se laisser aller, car lui souhaite se réserver pour les réjouissances à venir.

Les deux compères échangent leur rôle, J'entends dire le premier son désir de jouir en m'enculant... et le deuxième dit qu'il veut me sentir le faire venir sur ma bouche. Le sodomiseur à venir s'équipe se couche sur le lit en se mettant sur le dos en me demandant de venir m'empaler sur lui à genou en lui tournant le dos.

Je m'accroupis donc pour bien lui présenter mon intimité et je le sens me conduire là où il faut en me guidant par les hanches... J'adore être ainsi comme enfichée sur un pieu, et cette position qui me fait entrer une queue au plus profond de mon  intimité est paradoxalement pour moi la plus confortable analement parlant.

Il râle de plaisir et me fait claquer les fesses en se cambrant vigoureusement pour bien sentir et voir que sa queue me pénètre jusqu'à la garde. Mais accroupie je suis penchée en avant ce qui ne me permet pas de sucer son ami simultanément. Je m'agenouille donc et me cambre pour que mon anus puisse toujours remplir son rôle (hihi...)

Cela a permis à l'autre homme de se mettre debout devant moi. Je le tiens par les hanche pour garder mon équilibre et je lui offre ma bouche pour le dessein qui lui est réservé... Monsieur s'est assis et profite de la scène en faisant quelques commentaires que je ne suis plus en état de percevoir, car le mains de mon abuseur de service me tiennent la tête et couvrent mes oreilles.

Je mets en avant mon aptitude à me déhancher d'avant en arrière autant que latéralement pour bien profiter de cette queue qui remplit mon anus, consciente qu'il m'appartient de la faire jouir autant que son propriétaire.

ma bouche est tellement mise à contribution que je ne peux empêcher mon tronc de reculer. Il n'est bien sûr pas attendu que je recule mes hanches, je me vois donc contrainte de me cambrer et me câler sur mes mains derrière moi. Je couine, je fais des bulles, j'ai des hauts-le-coeur, je gémis à être totalement asservie à cette inéluctable jouissance qui monte en mes chevaliers niquants.

J'atteinds ce point où le réflexe de contraction de mon sphincter n'est plus possible, où ce qui sort de mon anus n'est fait que pour y entrer à nouveau sans aucune résistance, car je n'ai plus aucune capacité ni même volonté de me contracter.

Mais de sortir il n'en est pas question, mon étalon s'active toujous plus dans des râles toujours plus audibles, marquant ainsi sa claire intention de vouloir que je l'amène à jouir ainsi. Je ne me fais donc pas prier et redouble de grommellements signifiant que j'étais désireuse de m'assumer jusqu'au bout. Grommellements liés au fait que ma bouche désormais bavante à force de sollicitations buccales étaiet aussi sur le point d'engendrait les mêmes conséquences.

Et c'est les seins couverts de ma bave que mon jouisseur se lâcha en se retirant et en réintroduisant alternaitvement sa queue dégoulinante dans ma bouche me crépissant de sa crème gluante tout à la fois dans ma bouche, sur mon visage et sur mon poitrail.

Monsieur en profita pour venir voir de plus près à quoi resssemblait la femelle une fois souillée, femelle qu'il avait réussi à faire s'assumer. J'en profitai pour montrer à quel point il était de mon goût que de me sentir ainsi en passant langoureusement ma langue sur mes lèvres spermées.

Mais mon cul distendu était toujours à l'oeuvre. Toujours cambrée sur mes arrières, j'en profitai pour redoubler d'efforts en accélérant le rythme de mes déhanchements pour faire écho aux élans des coups de boutoir de mon étalon sodomite. L'inéluctable survint. Les coups se figèrent en d'immenses spasmes accompagnés de râles de satisfaction et l'homme découilla dans le cul de la femelle; il me fit basculer de côté, laissant son corps et son esprit reprendre le dessus après cette tempête charnelle. 

Egalement affalée au côté de ses mâles en quête de récupération, l'homme m'ordonna de soulver mon semblant de string, laissant ainsi apparaître mon clito. Il retira en même temps son préservatif plein de sa semence et le vida sur mon clito...

"Caresse-toi et masse-toi ?" me lança-t-il.

Ainsi enduite de sperme, je me mis donc à me caresser et recouvris mon clito et mon pubis ainsi que mes orphelines de ce jus gluant.

Monsieur m'ordonna ensuite de venir m'agenouiller au pied du lit, genoux écartés et mains dans le dos. J'en profitai pour essuyer ma main engluée sur mes fesses.

Ce qui restait de sperme sur mon visage et ma poitrine oscillait entre obéir aux lois de la gravitation en dégoulinant ou sécher sur place.

Monsieur invita ces messieurs à venir rincer leur queue dans ma bouche, ce que je fis avec reconnaissance et dévotion, les nettoyant de leurs dernières gouttes de sperme, fière d'avoir su rendre toute molles et dociles ces queues qui m'avaient fait prendre goût à mon statut de femme-femelle-chienne et salope... désormais.

J'étais encore en envies de consommation... ce qui était une révélation pour cette première expérience. Heureusement !, car le téléphone sonna à nouveau...

 







 


 




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